Les véhicules modernes intègrent désormais des publicités grâce à leurs écrans numériques, une innovation déjà adoptée par Volkswagen.
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Cette technologie, qui propose des recommandations personnalisées, suscite des réactions variées. Elle rappelle les controverses passées, notamment celles liées aux modèles d’abonnement de certains constructeurs automobiles.
Publicité dans les véhicules modernes : une innovation controversée
Les véhicules modernes, dotés de structures numériques avancées et de nombreux écrans, offrent désormais la possibilité de diffuser des publicités aux utilisateurs.
Volkswagen a été pionnier dans le lancement de cette technologie, suscitant des réactions mitigées de la part des clients.
En plus de mettre en avant les points d’intérêt des partenaires sur la carte, des recommandations pour des stations de recharge et des offres sont proposées.
Bien que ces suggestions visent à être utiles, les utilisateurs expriment parfois leur mécontentement, notamment face à des publicités jugées inappropriées ou intrusives.
Recommandations utiles ou intrusives ?
Volkswagen propose des recommandations censées faciliter la vie des conducteurs, comme la suggestion de stations de recharge spécifiques.
Cependant, certains utilisateurs perçoivent ces recommandations comme intrusives, surtout lorsque des publicités inappropriées s’y glissent.
Par exemple, une publicité pour le café chez Netto a été mal accueillie, illustrant le décalage entre l’intention et la perception.
Il est important de noter que les utilisateurs peuvent révoquer l’autorisation de recevoir ces publicités.
Le consentement est nécessaire pour activer les “recommandations” de VW, soulignant l’importance de respecter les préférences des consommateurs.
Volkswagen et le modèle d’abonnement : une pratique déjà vue
La situation actuelle de Volkswagen rappelle le tollé provoqué par BMW il y a trois ans avec son modèle d’abonnement pour le chauffage des sièges.
Volkswagen a adopté une approche similaire, notamment au Royaume-Uni, où les conducteurs de l’ID.3 GTX doivent payer un abonnement mensuel ou un frais unique pour bénéficier de la pleine puissance de 170 kW.
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Sans ce paiement, la puissance est limitée à 150 kW, comme pour l’ID.3 Pro S, une version moins chère.
Cette stratégie soulève des questions sur l’accessibilité des fonctionnalités déjà intégrées dans le véhicule.
Les consommateurs se demandent si ces pratiques ne créent pas une inégalité d’accès aux performances, en fonction de la capacité ou de la volonté de payer des frais supplémentaires.
